Guerre entre Israël et le Hamas : il y a davantage de débris à déblayer à Gaza qu'en Ukraine, selon l'ONU


Le Service d'action de l'ONU contre les mines (UNMAS) estime qu'il y a "plus de 800 000 tonnes d'amiante, rien que dans les décombres de Gaza". 

Selon France InfoChar, Militaire, Guerre, Abandonné

Pilonnée sans relâche par l'armée israélienne depuis six mois, la bande de Gaza n'en finit plus de se détruire. A tel point qu'il y a désormais davantage de débris et gravats à déblayer dans l'enclave palestinienne qu'en Ukraine, selon les calculs du Service d'action de l'ONU contre les mines (UNMAS). "Pour mettre cela en perspective, le front en Ukraine fait 600 miles de long (un peu moins de 1 000 km) et Gaza c'est 25 miles de long (soit 40 km)", a expliqué le responsable Mungo Birch, mercredi 1er mai, lors d'un point-presse à Genève.

Mais la masse de débris (37 millions de tonnes, ou 300 kilogrammes par mètre carré, selon une estimation faite à la mi-avril par l'ONU), n'est pas le seul problème. "Ces décombres sont probablement fortement contaminées par des UXO (munitions non explosées), mais leur nettoyage sera encore compliqué par d'autres dangers présents dans les décombres", continue Mungo Birch, qui gère en particulier les opérations de déminage de l'ONU pour l'étroit territoire palestinien. Ainsi, "on estime qu'il y a plus de 800 000 tonnes d'amiante, rien que dans les décombres de Gaza"... Poursuivre : https://www.francetvinfo.fr/monde/proche-orient/israel-palestine/guerre-entre-israel-et-le-hamas-il-y-a-plus-de-debris-a-deblayer-a-gaza-qu-en-ukraine-selon-l-onu_6519143.html

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LA PASSION DE LA DÉCOUVERTE

Pourquoi ce titre : la passion de la découverte ? Parce que la découverte est une passion tout comme la chine, tout comme la collection. Parce que chiner c'est conjuguer le passé au présent, ressusciter un objet endormi, répondre à la question du poète : objets inanimés vous avez bien une âme. Parce que chiner, c'est agir de manière écologique.

LES CHINEURS : UNE GRANDE FAMILLE

Amateurs ou professionnels, chineurs ou collectionneurs, tous ont un point commun, la passion. Chaque semaine vous irez avec eux chiner dans les foires et les marchés aux puces, dans les brocantes et les salons, les braderies et les vide-greniers, dans toute la France et même au-delà. Et bientôt, sans vous connaître, vous vous reconnaîtrez comme faisant partie de la même famille.

LA CHINE : UNE ÉCOLE DE PATIENCE

Chiner ce n'est pas aller en famille dans un magasin, pour y acheter un secrétaire de 1,12 m de large, afin qu'il trouve exactement sa place entre la cheminée et la fenêtre du salon.
Ce n'est pas aller chercher dans le vide-greniers qui se tiendra le samedi suivant, au coin de la rue, la série complète des boîtes Banania pour égayer une étagère de la cuisine ; même si vous avez lu la veille, dans un magazine de décoration, gue les objets publicitaires sont à la mode.
Dans les deux cas, vous risqueriez de vous exposer à une désagréable déconvenue car chiner, ce n'est pas trouver, à coup sûr, un meuble ou un objet des siècles passés, comme on achète un article vu dans un catalogue ou sur une publicité. Au contraire, la chine est une preuve, et non pas une épreuve, de patience et de pugnacité, comparable à celle d'un chercheur ou d'un explorateur. Et plus l'objet sera ancien, fragile, délicat, plus il sera rare mais plus la trouvaille prendra pour son découvreur une valeur inestimable. 
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